LE VERGER

Il se situe à Saint marc à Loubaud (23 460) dans la Creuse, il est niché sur les contreforts du plateau de Millevaches à 700 m d’altitude, en partie sur le PNR (Parc Naturel régional), en lisière du lac de Lavaud-Gelade et au bord duquel on trouve les deux aires naturelles des Pondauds et Pelletanges.

Il fût créé par Martial et Michèle à partir de 1989, à l’emplacement de landes à genêts, de bois de bouleaux et de pins sylvestres.

Il s’étend aujourd’hui sur 5.75 Ha, dont 3 de SAU (Surface Agricole Utile ou cultivée), répartie en 3 sites à proximité les uns des autres (800m du magasin pour le plus grand verger). Le reste est constitué de zones que l’on peut qualifier de zones de biodiversité (arbres, bruyères, étangs…)

  • Fontbelle, sur 3,75 ha, lieu de production de myrtilles et framboises
  • Colombet, environ 1,5 Ha, où l’on récolte myrtilles, groseilles, cassis, framboises et rhubarbe.
  • St-Marc à Loubaud, où l’on trouve deux bâtiments d’environ 200 m² chacun, le magasin et le local de transformation. On y trouve aussi un verger historique de myrtilles rustiques non irrigué.

La production est essentiellement portée sur la myrtille (8 Tonnes), les framboises (0,5 à 1 tonne), et de façon plus confidentielle le cassis et la groseille. Depuis quelques années, une production de rhubarbe a été entreprise.

Tous les ans, des ruches y sont installées par Francis Luquet, apiculteur.

Les conditions pédoclimatiques y sont idéales

  • Un climat montagneux
  • Un nombre de jours de gel suffisant afin de permettre aux myrtilliers de se développer et de produire leurs fruits
  • Une présence d’arbres qui génère de l’ombre et permet de maintenir une température supportable pour les myrtilliers
  • Une disponibilité en eau avérée (la commune contient environ 16,7 km de cours d’eau) et sur chaque lieu de production se trouve une réserve d’eau importante
  • Une terre acide, aérée

 

Les bâtiments

Ils sont au nombre de deux, permettant le conditionnement, le stockage, la transformation et la vente sur place. Construits en bois dès les années 2000, ils s’intègrent parfaitement à l’environnement et se fondent au printemps dans les arbres fleurissants, paysages féériques et luxuriants imaginés et crées par Michèle.

Techniques culturales & Labellisation

Lors de la reprise, le verger était exploité sur un mode « conventionnelle », entendons par là « sans labellisation ». Toutefois, aucun traitement n’y était réalisé depuis plusieurs années. Aujourd’hui, une conversion en AB est engagée depuis le mois de mars 2024, et qui prendra fin en mars 2027.

La communication sur la conversion pourra débuter en mars 2025.

A l’issue de cette conversion, la volonté est de s’orienter vers une labellisation

Les productions & la commercialisation

à venir…

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